cliquez ! fonds d'écran gratuits

il n'y a pas de virus ici.
cliquez sur les images, puis clic droit et enregistrez les images sous, où vous voulez.

alors ne vous gênez pas... =)




samedi 31 décembre 2011

Misère et pauvreté


Zst-il plus malheureux d'être seul dans son HLM ou d'être dehors comme eux ?

Au coin de la rue, ouvrez les yeux sur les gens. Qui a l'air heureux ?

urbain et orbite


enfance en France en souffrance


"analphabète ? je ne sai pa se que sa veu dire."

le retard scolaire est une grave maladie.
La télé est une ennemie.

internet,
pas nette la planète !
on la jette par la fenêtre.

2012, quel projet pour le monde ?


L'être intérieur porte sa vie dans le monde.
La vie du monde comporte nos êtres... pour l'instant.

Décidémment impuissant à réaliser le bonheur du monde, je m'occupe de moi-m'aime et c'est plutôt bien réussi.
Ma vie est très chouette et je ne suis pas un monstre.

Riche de mon grand bonheur intérieur, je peux l'instituer chez moi, où en profitent tous ceux qui me visitent.

Quand on le partage, le bonheur s’accroît.

J"ai constaté que c'est dans le minimalisme que se trouve la réussite.
Quand on fait juste ce qu'il faut pour le minimum vital, le reste vient en plus.

On exprime mieux sa joie en silence.

concilier existence et destinée - vocation est certes un grand bonheur.

C'est frappant comme le monde et les gens en général manquent de sens par manque de projet.

QUEL PROJET POUR VOUS EN 2012 ?

jeudi 8 décembre 2011

je te po-aime.


Le dessin de ton sein
s'imprime en douceur
dans le creux de ma main
qui caresse ton coeur.

mercredi 23 novembre 2011

gens du voyage

Dimanche à 16H, j'étais à un concert dans Lyon, un concert de musique tzigane. Bravo ! Quel brio !, l'accordéon surtout... et les danses, transes de joie partagée.

L'expulsion des familles collectivement vers la Roumanie par la France est reconnu comme une ségrégation raciale et une atteinte grave aux droits de l'homme. Après tout, ils sont citoyens de l'Europe à part entière ... ou pas ?!?

L'idée de race inférieur me blesse, me choque et me tourmente.
à qui le tour ensuite ?

Des mères portant leur enfant, il y en avait, qui ont trouvé refuge là grâce à la bonté de Monsieur le curé. On pense à une autre mère à l'enfant, à une autre crèche de misère... Passons.

"Ils roulent en Mercedes !" voilà ce qu'on entend, bien lion de la réalité de leur vie au quotidien.


ET SI VOUS ÉTIEZ SOUDAIN DÉMUNIS ET A LA RUE ???

sans-titre

lundi 21 novembre 2011

VIVE LA FRANCE ! (modifié)





VIVE LA FRANCE !

Aux temps de ce débat, j'ai posé la question autour de moi :

qu'est-ce qui fait qu'on est français ?

Autant de réponses très variées. Faites l'essai pour réveiller une conversation de fin de repas...
tout le monde se met à parler, et fort en plus... ou alors se taire mais n'en penser pas moins.

Cela me parait une conversation fondamentale avec soi-même d'abord.
Pourquoi moi, je me sens français ?
Cela me parait une question fondamentale du vivre-ensemble.

Un commentaire plein de bon sens me renvoie à MA conception de l'identité française.

Pour moi, la France, c'est d'abord un ART DE VIVRE et de très beaux paysages, de jolies maisons, de grands monuments mythiques (la Tour Eiffel !)

J'ai grandi de 1968 à 1973 au USA, près de Phidadelphie, à la campagne, dans une petite ville.
Mon enfance a été heureuse là-bas, comme on la souhaite à tous les gosses.
Mais à mon retour à Lyon, j'ai bien compris la différence :

La France, pour mes yeux d'enfant, ce fut d'abord la famille, et tout de suite, le marché au fruits et légumes frais, non pas industriels. Les produits du terroir ! Ah !, les fromages !!!... au lieu du gouda et du fromage à cheese-burgers.... Du vrai pain qui croustille !, OUI? POUR MOI?

LA FRANCE? C'EST D'ABORD LA BOUFFE, TOUS CES BONS PETITS PLATS A LA FRANÇAISE.

Dans ma consultation du peuple autour de moi, on m'a dit : le droit de vote - la naissance - oui, mais après 5 ans - ou 10 ans - ou plus... - on m'a dit judicieusement la langue française - le travail - qu'il faut aimer la France... - ou la quitter (!) (saletés de fachos !!!) - là où tu payes tes impôts...

Je crois qu'un peuple se rassemble aussi sur le sport qui donne une idée collective et concrète de la nation.

Le français est râleur, roublard, romantique... "Ah, l'Amour, toujours... "

Le drame a été de quitter les campagnes pour disparaître dans les grandes ville anonymes.

On naît français d'abord parce que l'on te le dit ; "sale français !" je l'ai entendu sans me marrer en Amérique et je ne suis pas content de l'entendre aussi ici !!!

Ce débat peut être repris dans le sens de ce qui nous rassemble et alors, ce sera une très bonne chose.

jeudi 10 novembre 2011

HALLOWEEN, OMBRE ET LUMIÈRES...



Tout comme en France, nous couplons le jour des défunts et la fête de Tous-saints, pendant mon enfance aux USA, c'était Halloween ET Thanksgiving (qui signifie rendre grâce ou "donner le merci" littéralement ; je le précise pour les français, ceux qui ne parlent que le français). Thanksgiving était la fête des premiers colons européens avec les natifs d'Amérique, les amérindiens, pour célébrer ensemble les récoltes de maïs et de citrouilles. C'était à l'époque de la paix.

Il me parait notable cette alliance de la fête païenne et de la fête religieuse.

De même, il y aura bientôt les cadeaux du père Noël, ce chantage ignoble pour tenir sages les petits enfants toute l'année... et la crèche de Noël, commémoration de la naissance de Jésus de Nazareth.

Ainsi, pour moi, le premier novembre est le souvenir morbide de mes premières bouffées délirantes. Atroce ! Dans le même temps, c'est la joie d'aller bien maintenant, 26 années après.

N'empêche, les angoisses sont toujours là. Il n'y a qu'à écouter France infaux ou France Intox, les radios d'Etat.

jeudi 27 octobre 2011

Seul en silence


Seul en silence, je fume et je pense. J'écris donc je suis, car il y a forcément quelqu'un qui a écrit ceci. Ce texte n'existe pas par hasard. Je le dédie à tous mes amis, que j'avais de si près tenus et qui ont disparu de ma vie.
A ceux que j'ai blessés, je demande pardon : Paix à vous !
A ceux qui sont morts : Paix à vous !
A ceux qui m'ont fait du tort : Paix à vous !
A ceux qui me tournent le dos : Paix à vous !
A ceux qui restent et me tiennent debout : Paix à vous ! Gloire à
vous !, avec cette sublime louange qu'est mon bonheur infini : fou de joie, je vous dédie cet instant béni, tellement parfait que je reste sans voix. Que dire quand tout est beau ?
Le silence seul peut rendre compte de cet instant présent, de cet instant-cadeau.
Ma gratitude insolvable pour tous ceux qui ont tendu la main à mon âme égarée sur les chemins du doute. C'est à vous que je dois tout. Sans vous, il n'y aurait pas eu cette résilience inattendue, improbable, inespérée, incroyable = je suis vivant, encore et malgré tout, j'aime la vie, encore et malgré tout, je suis heureux !
"La vie, c'est comme on se la raconte." ai-je coutume de dire. C'est la leçon de la bouteille à moitié : observer sans penser. Chacun a la culotte sale. Alors... qui peut juger ?
Douceur du respect avec humilité.

Au milieu de la nuit, le silence, rythmé par le bruit ténu de la plume qui crisse sur le papier nu. Pudeur de la pensée qui se dévoile ici : on est entre soi.
Une grande cigarette parfumée à la sauge du jardin. HMmmh !... cette belle odeur de plante médicinale, cet arôme fort de la sauge vivace, cette fragrance venue de l'antiquité pique mon nez ; une odeur de pharmacie, oui, on s'en sert de purificateur, comme plante divinatoire, sur tous les continents, depuis des milliers d'années.
J'ai redécouvert cette sauge -salvia divinarium- il y a peu de temps. L'idée abstraite est devenue expérience concrète. Ne dis pas : "ça ne sent pas bon." Dis plutôt : "je n'aime pas cette odeur." car pour moi, cela représente un grand et intense bonheur. Cette plante est vivante. Même séchée et broyée et mêlée à mon pur tabac, elle garde toute sa liberté et c'est elle qui décide de l'effet qu'elle me fait, ou pas.
Cette fois, traitée avec respect, elle m'ouvre la conscience jusqu'aux confins du monde ; j'embrasse tout le cercle... L'extérieur remplit mon intériorité. Le monde m'étreint.

Grand moment paisible. repos de l'âme. Tout est tranquille. Je pense à mes femmes, toutes mes amies que je chéris avec soin, ces amours platoniques qui nous relient de loin. Tendresse enivrante de nos affections vibrantes, cet amour sublime qui naît de nos conversations intimes. Nous nous connaissons et c'est si bon !...
Ne couchant avec aucune, je peux les aimer toutes, c'est net et sans bavures, sans faire de jaloux. L'amour pur nous réunit. J'accueille volontiers dans la mienne leurs vies qui peinent.
Ô mes soeurs humaines, que de beauté vous déployez dans vos existences de femmes quotidiennes ! Vos petits bobos et vos grandes joies, vos peurs mortelles et vos désirs charnels, vous les partagez avec moi en toute confiance, car vous savez que vos confidences sont bien
placées : je suis un ange, sans complexe, je vous bénis, je vous absous, je vous comprends, je vous écoute surtout. Voici nos amours ravies et ravissantes. Voilà nos liens jolis.
"Toutes mes femmes" je vous aime chacune à votre façon, à votre mesure. Vous savez bien que rien de d'autre que vous ne compte pour moi quand vous vous racontez, il n'y a que vous. Tout vient de ma capacité à me décentrer et à épouser votre vie sans toucher à votre corps.
Tout vient à point à qui sait écouter.

De retour sur mon fauteuil, à la table de travail, au centre de cette activité d'écriture. "Le retour se fait toujours au centre." car c'est notre conscience qui est le centre de la vie, surtout quand elle se place en périphérie du monde pour l'observer tout entier.
Ecrire, encore et encore, écrire comme on respire pour se donner à lire à livre ouvert dans son propre être. L'existence du monde, soi qui l'observe, un tout cohérent et harmonieux, l'unité de la pensée qui ne pense pas. Observer sans interpréter. C'est alors que naît le vide souverain qui peut recevoir dans tout son éclat la Vérité entière par voie d'évidence.
Je me connais. Je me connais bien, même. Je me vois, distancié par rapport à mon ego, je le vois comme de l'extérieur. Je contemple cette conscience unie au monde par la Vie. La Vie qui relie toute chose, qui porte en soi une indicible osmose : ce-qui-est.
Voir d'un coup d'oeil tout l'Existant, comme on embrasse tout le paysage tout autour, tout le tour de l'horizon, quand on est sur un pic élevé et isolé... Une tour dans la plaine peut en voir toute l'étendue. La conséquence est qu'on peut la voir de loin, cette hauteur d'où l'on voit.
Tour et retour : tout est dit.

Au dernier tiers de la nuit, tout est plus clair pour l'entendement. La conscience embrasse la globalité avec plus d'aisance. Ce monde qui dort s'offre, abandonné et il est facile de l'accueillir.
A cet instant précis se présente le chat. Il s'approche, encore endormi ; il s'étire : une patte arrière, l'autre, puis les deux membres avant se plantent dans le linoléum et il se cambre, tirant son corps en arrière, comme les chats aiment le faire.
Pour une fois, je m'assieds sur le canapé et je l'appelle. Il est surpris, perplexe. Je ne lui avais encore jamais fait ça. Puis il comprend et vient à moi, dans mon giron, se faire câliner, caresser, grattouiller sous le cou. Je le flatte de la voix, doucement, d'un ton de basse : "chat va comme chat, bon chat, fidèle ami, gentil, aimable animal..." il se rengorge.
Puis nous passons à la cuisine. Dans notre misère, c'est la fête ! Le boucher m'a donné pour lui un bout de mou, du poumon sanglant. Découpé en lanières, mélangé au croquettes, c'est un festin sans pareil pour lui qui a faim. Paix et joie.
Ce chat qui mange est l'image même du bonheur.

dimanche 23 octobre 2011

RU comme RUGBY

Rugby : joie de la victoire des all blacks, cocorico !, "on a gagné !", "ET M... " on a perdu !!! etc.

Rue : les indignés et les SDF ; "à la rue" se dit des gouvernements qui ont perdu tout sens commun.

Rût : ces hommes qui forcent les femmes ; les viols comme armes de guerre.

Russes : les pires prisons du monde, où la loi du plus fort est le commun des mortels.

Alors, plein de ces images de " R U - ", je me coupe du monde.


jeudi 13 octobre 2011

Jef Flag était Al Ô Rizon. WAOH !




J'ai eu la joie et l'honneur d'assister samedi 8 octobre 2011 au concert de Messieurs Laurent Delort dit "AL" et Stéphan Rizon dans la petite salle des fêtes de Gendrey (25). La salle était comble -180 places !- et follement enthousiaste. Il y avait de quoi.

Prenez un guitariste talentueux et bien expérimenté, qui a des choses a dire au sujet de l'amour, du deuil, du fascisme et ajoutez la plus belle voix de ce XXIe siècle ; Mélangez à cela les deux frères Ceccaldi à la violoncelle et au violon ; mettez une complicité à toute épreuve entre eux et vous obtenez ce concert sublime, monumental, grandiose, en un mot INOUÏ !

Comme les chiens ne font pas des chats, la première partie était assurée, oui, avec assurance !, par Louis Delort, fils de Laurent, pour une re-visitation éclairée de Jacques Brel, de Leonard Cohen et des compositions brillantes. Petit arbre deviendra grand.

Merci à eux pour ce moment de bonheur rare !
C'est seulement dommage que ma tension à 20.8 après l'opération de mon hernie ombilicale m'ait un peu gâché la vie... C'est comme ça. Je me soigne. Je vis un peu moins vite, moins fort, moins loin. C'est dur la vie d'artiste.

voici quelques liens, si j'ai le droit?






samedi 1 octobre 2011

PRISE D'OTAGE - PRISE DE TÊTE AU BOUI-BOUI à Lyon,




Beau spectacle au Boui-Boui à Lyon !

Ce soir, je suis allé au café théâtre voir la pièce :

PRISE D'OTAGE - PRISE DE TÊTE.

Super !!! Je vous la recommande sauf que - oups ! - elle n'est plus à l'affiche. J'ai eu cette chance d'assister à la dernière. Salle comble d'ailleurs, ce n'est pas un hasard. Appuyez de toute votre influence pour qu'elle passe à nouveau dans une salle lyonnaise, à la rigueur dans une salle parisienne, si vous ne pouvez pas faire autrement. Personnellement, je suis resté pour rencontrer Messieurs Thierry MORALES (comédien talentueux en braqueur sentimental) et Jean-François "Jef" EDOUARD (comédien qui incarne et écorne à merveille l'auteur lyonnais monté à Paris et en manque d'inspiration).

Mais Monsieur Edouard ne manque pas du tout d'inspiration puisque c'est lui l'auteur de cette pièce, un régalant vrai-faux fait-divers revu et corrigé à la façon de Tex Avery ou du regretté Pierre Desproges avec un pointe de Johnny et de Brassens. Je ne crains pas de le citer à l'égal de Shakespeare à ses débuts pour plusieurs raisons :
- une écriture minimaliste toute en sous-entendus et en finesse.
- la troupe entière participe à l'écriture et à la mise-en-scène.
- les décors sont vides et suggérés par de menus accessoires.
- on se projeté sans peine dans ces personnages tellement humains que l'on se demande où est la limite entre fiction et réalité.
- la pièce se réécrit constamment au fur et à mesure de son succès grandissant.
- il y a de la culture sous la légèreté tragicomique de la forme.

Tout se joue entre ces deux personnes si différentes que le hasard fait se rencontrer, Mais le hasard n'existe pas... ils vous le diront mieux que moi.

A VOIR ET REVOIR !... faites en sorte que la dernière de ce soir soit comme ma dernière clope ou mon dernier amour : qu'il y ait une nouvelle première.

Je vous mets le lien vers leur post-it. Ils ont eu l'humour de se doubler soi-même avec un décalage jubilatoire façon western spaghetti. Je vous le dis : il y a de la culture là-dedans.
voici donc ce qui peut devenir un lien d'amitié si vous le faites circuler :


Cet message ne serait pas complet sans saluer le lieu :
LE BOUI-BOUI, à deux pas du métro saint-jean
et l'accueil de Thierry que sait autant vous accueillir avec le sourire et vous mettre à l'aise quand vous avez l'air d'un son, comme moi, que chauffer une salle avant le spectacle et tenir ses boissons au frais. De plus c'est lui à la régie, ce qui n'est pas un mal.

Messieurs, Chapeau bas !

vendredi 30 septembre 2011

mercredi 28 septembre 2011

SOYONS FOU !

A mon réveil, un médecin en blouse blanche m’a dit que j’allais en clinique psychiatrique.
« Mais non ! Je ne veux pas ! » Je m’écrie. Mais il me réplique que sinon, c’est Le Vinatier, l’hôpital psychiatrique de Lyon. Alors j’ai accepté.
L’endroit s’est avéré joli. Derrière ces hauts murs ornés de barbelés se cachait un beau jardin, avec des arbres et des fleurs : roses, iris, glaïeuls, et pâquerettes et deux vieux bâtiments désuets. Au premier repas, je n’ai rien pu avaler, mais bon je me suis bien rattrapé après.
Au début, j’avais peur des gens, surtout de leur regard sur moi. Oh, ce n’était pas agressif, mais insistant et pénétrant, je me sentais nu, comme si ma pathologie était inscrite sur mon front. TS ? Ts ! Tssss… Mais je me suis habitué. Au fond, c’est agréable de ne pas avoir de secret. L’ambiance était conviviale, joyeuse, voire lubrique parfois. Mais quoi ? J’étais amoureux de ma femme et n’aurais dérogé pour rien au monde à ma fidélité, pour pouvoir ainsi lui reprocher ses adultères. J’ai même prétexté l’homosexualité pour signifier mon refus à une femme… « J’aime bien comme ça aussi. » m’avait-on répondu. Ah bon ?!? Non merci. Les yeux de la vamp dégoulinaient de tranxène… Autant que de stupre. Om'a dit plus tard qu'elle était très douée. Non ! sans regret !
Mon collègue de chambre, un barbu, n’était pas causant. Il serrait cette femme par la taille, mais ne l’embrassait jamais. Peut être n’aimait-elle pas les poils, qu’il avait noirs et durs… Ce n’était certes pas un barbu religieux avec tout ce qu’il buvait en douce !...
Il y avait tout un tas de gens singuliers aussi, comme ce chef d’entreprise victime de surmenage, ce cuisinier-pâtissier : il m’offrait des paquets de tabac avec cet air torve qui me mettait tellement mal à l’aise. Il écrivait tout ce qu’il faisait. J’avais trouvé ça ridicule à l’époque, mais qui sait, ma vocation d’écrivain vient peut être de là ? Il y avait cet homme divorcé qui se faisait un point d’honneur de laver son linge à la main. Il y avait ce grand blond qui construisait des tabernacles avec tout un bric-à-brac au fond du parc, non c’était en plein milieu. Et cette professeur de danse du ventre qui se faisait bronzer en bikini, et cet ancien légionnaire à qui une prostituée juive avait jeté un sort, mais pour moi, c’est l’horreur sans nom de la guerre qui lui avait tourné le cerveau. Il y avait les infirmières, Ah !... les infirmières : tout un monde ! Tellement uniques et particulières, chacune dans son genre. Il y avait le bouddhiste qui dealait du H, (oui, H comme drogue) et cet échalas de 18 ans qui le fuyait comme un toutou.
Il y avait les docteurs enfin, chacun le sien, sauf les jours fériés : « T’as qui toi ? » « Ah bon ? Il est bien ? Tant mieux. » Ou « Tant pis » selon les cas. La pire, c’était celle qui venait en Lamborghini rouge et en décolleté majeur…
Mais c’était une joyeuse compagnie dans l’ensemble… Ca draguait ferme sur le terrain de boules… On riait beaucoup à notre table, mais pas du tout à la table des repas avec régime, allez savoir pourquoi ?
A chaque entrée de nouvel arrivant, nous passions l’inspection… A chaque sortie, on se promettait une amitié éternelle « sorties d’anges heureuses » voilà le niveau de nos blagues ou bien de voler le jour du premier avril la clochette qui sonnait le repas...
Celui dont je me souviens vraiment, c’est Frédéric, blond, décontracté, détendu même. Il était entré un lundi, alors que les changements de résidents (ou patients) se faisaient le jeudi. Je lui ai demandé comment ça se faisait. « Admis en urgence » et il s’est remis à sourire… comme un imbécile heureux. Mais imbécile il était loin de l’être. Heureux. Par contre, il l’a confirmé par la suite ; « mais alors pour quoi t’es là ? » Sa réponse m’a marqué pour la vie : « parce que mon patron ne voulait pas me donner des congés payés. » Quoi ?!? Il venait ici pour se payer du bon temps. Oui, nourri, logé, rien à glander… C’était sa conception des vacances. Je me demande quel baratin il avait servi à l’infirmière en chef pour être admis devant toute la liste d’attente. Je me le demande surtout, avec nostalgie, quand mon patron ne veut pas me donner de congés payés. Car je suis retourné là-bas plusieurs fois, mais contraint-forcé, avec une seule idée en tête : sortir. Mais il n’y a que les imbéciles qui ne changeaient pas d’avis, non ?

vendredi 23 septembre 2011

L'hétéro gêne.

Jef de Lyon dit :

non!

Je n'aime pas les hommes, pas homophile...
et même les femmes sont trop macho,
mais mon chat est agréable.

non plus !

je ne suis pas homophobe.
Chacun fait ce qu'il veut en privé...
DU MOMENT QUE ÇA NE PORTE PAS ATTEINTE à AUTRUI.

J'aime beaucoup trop ma liberté pour empiéter sur celle des autres et je ne demande que le respect et la réciprocité.

MAIS...

TOUT EST ETAT DE LIMITES ! On ne peut pas tout tolérer.

Quand on se promène dans les rues, quand on écoute des conversations, c'est mal vu d'émettre des critiques contre les homosexuel(le)s autant que de les approuver. Tout dépend de quel milieu on fréquente.

Je suis résolument NEUTRE sexuellement, c'est-à-dire non-pratiquant. Notre monde donne trop de place au sexe avec le/la prochain(e) à mon avis et pas assez à l'amour du prochain.

Moi, c'est le mariage ou rien. C'est tout simple.

jeudi 22 septembre 2011

transparent

"Je n'ai rien à cacher, sinon les secrets des autres."

c'est fou comme je me sens bien avec ma conscience tranquille !

mardi 20 septembre 2011

Ma chérie, mon amour...



Ma chérie, Mon amour de toujours,
j'ai si mal en pensant à toi,
car tu n'es pas là.

Quand nous verrons nous? peut-être jamais...

Seul ce soir, j'ai peur qu'on me prenne,
qu'on me retienne une nuit de trop,
et que je parte sans te voir...



guignol de lyon



Lyon,
capitale de la Gaule - vive la Gaule et les gauloiseries ! - s'est illustré par ses casseurs en novembre 2010.

Renseignez-vous, ça ne date pas d'hier.
Je salue Jean Moulin, Blandine, les canuts ...
... et tous ceux qui se révoltent contre les injustices.

Je blâme les petits casseurs de Lyon. Ils n'ont pas fait grand chose de bien.

Quand la guerilla est déconnectée de la révolution du peuple, pfuit!, le pouvoir en place en sort renforcé. Police, armée et gendarmerie s’entraînent à nettoyer les banlieues dans une ville factice. Ils emploient tous les moyens, et même l'arme blanche. Che Guevara l'a payé au prix fort en le 2 septembre 1967.

L'Histoire se répète trop souvent...


passage à vide




Un passage à vide vaut mieux qu'un passage à tabac.

Mais... "Non Jef, t'es pas tout seul..." et par moments, je préférerais l'être ; j'ai peu d'amis et tant de vilains cafards menaçants rôdent autour de moi.

réferendum interne auprès de tous mes visiteurs

Le site qui héberge mon blog me propose de me payer si je les laisse passer de la pub entre les articles?

pub ou pas pub ?

qu'en pensez-vous ?

vous pouvez répondre en cliquant sur le mot ci-contre en jaune. Merci d'avance.
(NB : en ces d'un taux d'abstention trop pimportant, je deviendrai un petit jef totalitaire et je déciderai seul)

1er octobre 2011 : 5 votants à ce jour.

je sais qui vote et qui ne vote donc pas. C'est à ces derniers que je m'adresse : votez ! Ne laissez pas les autres décider pour vous.

votez s'il vous plait.

La rencontre

J’avais 20 ans. Ma vie était formidable. J’étais plutôt beau garçon et aucune fille ne me disait non. Je faisais de très bonnes études qui me promettaient une bonne situation. J’habitais seul un appartement confortable. Mon père banquier venait de quitter ma gentille maman, et sans doute pour se laver de ses remords, venait de m’allouer une somme coquette. En somme tout était idéal pour moi. Du moins c’est ce qu’il paraissait. Je marchais cette nuit-là au hasard dans les rues désertes. En quête de je ne sais quelle aventure romanesque, je marchais tranquillement, les mains dans les poches, en me chantant mes chansons préférées.

Franchement, je ne m’attendais pas à croiser qui que ce soit. Il était entre 2 heures et 3 heures du matin. L’air était frais, et j’ai fermé mon blouson. Je me suis allumé une cigarette, une sale manie que j’aimais car le feu me fascine plus que le tabac, c’est le baiser brûlant de la braise ardente que j’apprécie, jouer avec le feu est pour moi une seconde nature.

C’est à ce moment là que j’ai senti une présence, dans la nuit. Je me sentis observé. Alors je m’arrête, et sonde les ténèbres du regard. Effectivement, j’ai l’ouïe fine, j’entends un souffle tout proche. J’allume mon briquet. Un clochard est là, sous un porche qui me sourit.

« Eh, gamin, t’as pas une clope pour un vieux bonhomme fatigué ?

- Bien-sûr, Monsieur.

Il rit.

- On ne m’a pas appelé Monsieur depuis des années. Tu es trop poli pour être honnête. Quel est to vice, gamin ?

- Je ne sais pas. » Je ne crains personne car je suis plutôt costaud et surtout,

je sais parler, même aux gens détraqués. Ce type était paumé, c’est dommage pour lui, mais je ne suis ni Zorro, ni le Père Noël. J’allais continuer mon chemin quand il reprend :

« Eh, gamin, t’a pas une pièce pour un vieux bonhomme fatigué ?

- d’accord, si vous voulez… » Et je lui donne ma ferraille, les petites pièces

que j’avais dans ma poche, pas grand-chose. Une clope, de l’argent, que pouvait-il espérer de mieux? J’allais décidément m’en aller, quand il m’a pris de court :

« Eh, gamin, t’a pas 5 minutes pour un vieux bonhomme fatigué ? » Surpris, j’ai hésité, mais je me suis dit que c’était au fond ce que je cherchais en me promenant la nuit, bavarder avec un inconnu. J’aurais préféré une jolie fille, mais je n’étais pas naïf, et c’était ce type tout ce qui s’était présenté à moi. Alors, sans un mot, je me suis assis dos au mur à côté de lui ; il m’a tendu sa bouteille mais j’ai refusé poliment. Et il s’est mis à parler. Doucement, lentement, tranquillement, il m’a parlé du monde et de sa vie, de tout ce qu’il trouvait de beau, les levers de soleil, le ciel toujours différent, les couchers de soleil, la nuit mystérieuse, le silence et la paix intérieure qu’il avait.

« Tu comprends, gamin, je n’ai aucun droit aujourd’hui, je n’ai aucun bien à préserver, aucune famille à nourrir, pas de situation à responsabilités qui me prend mon temps… Il a marqué un silence.

- Mais du coup, je n’ai aucun devoir, je ne dois rien à personne, et je ne fais ce

que je veux…

- Oui, mais sans argent, vous ne pouvez rien faire. J’ai protesté.

- Tu parles, je mange tous les jours, et je trouve même de quoi picoler. Les gens

d’ATD quart monde me donne de chouettes livres, surtout, rien ne m’empêche de penser librement.

Après un silence, il me regarde pour la première fois depuis le début de sa péroraison.

- Tu sais, il y a des choses que l’argent ne peut pas acheter

- Quoi ? J’étais con.

- La liberté d’être soi.

J’allais rétorquer que j’avais choisi mes études et faisais tout ce qu’il me plaisait

de faire, mais il m’arrêta net.

- Tu fais ce que tu veux, mais es-tu qui tu veux ? Pour qui es-tu important ? Qui

te connait vraiment dans tous secrets ? Qui es-tu ?

- … Je ne m’étais jamais posé la question

- Je ne te demande pas ton nom, ni ton pédigrée, gamin, mais ton être ! »

Il avait haussé le ton sur ce dernier mot, et se tut. Il avait raison, je savais qui j’étais dans la société, dans le monde, un étudiant, un français, un homme, mais en moi, je ne pouvais me définir clairement. Je l’ai quitté au petit matin. Nous n’avons plus beaucoup parlé après cette dernière idée. Qui suis-je ? Cette question m’occupe encore l’esprit à ce jour. Je suis un voyageur dans la vie, je marche encore la nuit dans les rues, je n’ai jamais trouvé vraiment la réponse.

lundi 19 septembre 2011

Arrêtez-vous un instant.




prendre le temps de s'arrêter pour regarder le paysage








dimanche 18 septembre 2011

lutter pour son honneur



"Le guerrier n'a peur que de lui-même."

Un combat quotidien - contre son ego - est indissociable d'un cheminement de développement personnel. Je me sens un guerrier de la paix avec la parole et le silence comme armes. Ce blog est un des champs de ma bataille.

"Ne pas se défendre est un suicide."

J'ai dit que la paix est la forme de bonheur la plus juste. NON. pas n'importe quelle paix. Il est de notre devoir parfois de descendre le shérif, comme chante Bob Marley. Ce n'est que le dernier recours.




samedi 17 septembre 2011

Jef Flag dit WAOH !

- DANSITéS -

En exclusivité mondiale : la dernière oeuvre en date de Trouble

quel âne rit ?

Henri en rit de tout ça.



HI - HAN !



Et elle est morte Adèle.


bien venue à tout le monde.

dire des âneries n'est pas comparable à faire des sonneries.

Jouer au con est un art subtil et infiniment dangereux...

...alors...



... VOTEZ BIEN !!!...



car... rira bien qui rira le dernier.


jeudi 15 septembre 2011

Un cerveau en cadeau

BRAIN par Trouble

(ça signifie en anglais = cerveau ;
je le précise passque l'on me reproche que tout le monde ne parle pas français)
(Trouble est son nom d'artiste. Cela signifie = ennuis, dérangement, en anglais)


"Trouble a ajouté un nouveau commentaire sur votre message "Un cerveau en cadeau" :

D'autres boulots sont visibles sur mon site : http://mlaurent1.free.fr/trouble/

Bonne continuation, Trouble."



C'est la Joie ! Cet artiste m'a offert une de ses oeuvres, je ne sais pas pourquoi, d'ailleurs... Son nom est TROUBLE. Retenez ce nom. La gars a 10 ans d'avance sur tout le monde... et cliquez sur le lien pour découvrir ses travaux.
Toujours est-il que ça me fait énormément plaisir : le geste et surtout l'image, elle-même !
C'est d'une rare beauté surréaliste, avec une profondeur de champ très maîtrisée. Les couleurs sont douces et chaudes. Cette oeuvre ME PARLE de moi-m'aime.

mercredi 14 septembre 2011

Perroquets de Panurge

"Perroquets de Panurge"

(C'est une expression d'un philosophe français et académicien que j'apprécie beaucoup.)

Les gens gobent la télé comme une source de vérité. Le pire, c'est qu'ils répètent ce qu'ils ont entendu sans comprendre et sans réfléchir.

"La télé, c'est bien comme ça on ne pense à rien."

"Tais-toi, j'écoute !"

"C'est vrai puisque c'est passé à la télé..."

"La télé rend intelligent les abrutis et rend abrutis les intelligents..."

info ou intox ? je me souviens de commentaires dramatiques lors de la 2e guerre du golfe. Ah, ça pétait de partout !, mais en fait, c'étaient des images de la 1ère guerre du golfe, donc sans aucun lien avec la réalité.

D'ailleurs, qu'est-ce que la réalité ? la télé réalité ?

on nous dit : "c'est la crise." alors c'est la crise."
on nous dit : "c'est la reprise." alors c'est la reprise. on nous dit : "c'est un complot terroriste." alors c'est un "complot terroriste."

Pour moi, une telle crise de nerfs m'a reprise, que je me suis fait une terrible hernie au nombril et qu'il faut m'opérer. C'est vraiment vrai ! Je positive en me disant qu'ils vont vraiment me couper le cordon, cette fois.

dimanche 11 septembre 2011

parle à mon Q.I., s'il te plait.



On nous prend pour des imbéciles, partout, par tout le monde, dans tous les médias ; et dans la vie courante, c'est encore pire !

Joue à l’imbécile avec moi, tu n'es pas sûr de gagner...

Pourtant, mon quotient intellectuel, mon Q.I., vaut beaucoup plus que ça...

Je suis capable de comprendre les choses, même s'il me faut du temps...

... à croire que tous les neurones des gens sont en-bas.

Les gens ont un sexe à la place du cerveau et un porte-monnaie à la place du coeur.


Pauvre monde ! Les politiques et les religieux donnent les pires exemples de mauvaise conduite. On est perdus !



Rien ne dure.

"Le temps court comme le vent." dit la chanson d'un ami.

Je viens de comprendre que ma soif d'écrire à tout un tas de gens, y compris dans ce blogriffoul, me sert à échapper au temps, fantasme de durer au-delà de l'instant présent.

On fait des enfants pour durer...
... des oeuvres d'art,
... des exploits,
c'est pour entrer dans l'Histoire et imprimer les mémoires.

Or RIEN NE DURE.

Rien ne dure plus qu'un pet de lapin.

Pourtant, j'ai l'espoir, l'intime conviction que les liens d'affection véritables durent au-delà de la mort.

Mon amour durera éternellement. Voilà.



Voilà où je place mon espoir.





vendredi 9 septembre 2011

votez pour Jef Flag


parce que je suis le plus heureux !

Jef Flag bosse fort comme un turc.

vous savez quoi ? Je suis heureux.
Je bosse une nuit par an et tous les enfants m'aiment
quelques parents aussi...

Le seul souci, c'est la baisse prochaine des taux directeurs de la banque centrale européenne.
Mon besoin en fonds de roulement va en prendre un coup si les fonds spéculatifs font une OPA agressive sur ma holding à Guernesey.
Je ne parle pas encore chinois, moi... pour délocaliser en Asie...

mercredi 7 septembre 2011

en age et en eaux troubles


zut, j'ai été banni d'un forum sympa.
J'ai gaffé. C'est de ma faute ! Zut !

J'ai fauté contre la charte par inattention : j'ai parlé d'un autre forum.


quel *bip* je suis !!!...


mardi 6 septembre 2011

café-clope-courrier, c'est le pied !


j'aime passionnément écrire
une clope au bec et la café à volonté.

J'écoute le silence
je fume et je pense
café noir-bitume
je pense et je fume




VIVRE TUE !

salut et paix à vous mes amis.

Je suis ravi de cette rentrée.

C'est super !

bon jour et bonne nuit à tout le monde !

Ne crachez pas dans la soupe ; il fait bon vivre, non ? il faut bien vivre... non ?

Je suis dans le plus grand bonheur.
et le bonheur augmente quand on le partage.


C'est aujourd'hui la rentrée des classes. Tous les enfants savent ça !, et quelques parents aussi... lol ! ça ne me fait que du bien de me souvenir de mon époque homme-au-foyer.
Pour moi, ce matin est un matin ensoleillé, doux, calme. C'est le premier jour de la semaine ; on rattaque! Hardi mon gars !

... en tant que peintre, je commence par prendre la pause car je ne suis pas un modèle. Moi d'abord ! je pense à me faire plaisir, à me faire du bien d'abord !
... alors café-clope-courrier... c'est mon plus grand bonheur sur terre sauf papoter avec les amis.

Et c'est à vous d'abord que je dédie cet instant présent.

Ensuite, je me suis appliqué à faire tout ce que je voulais faire. c'est bien fait pour moi.

La Vie est la seule maladie sexuellement transmissible dont on finit tous par mourir, alors autant vivre sa vie soi-même, non ?

profitez de votre Vie ! Le bonheur vous attend au coin de la rue.

dimanche 4 septembre 2011

NO COMMENT


Il n'y a pas de fumée sans feu.

IL Y A LE FEU !

Je suis non-fumeur entre deux cigarettes.
J'aime fumer le tabac comme les natifs américains.
Je me modère pour réduire les dommages.
Je ne fume pas en public pour ne pas donner le mauvais exemple.
Cela ne regarde que moi.

Or...

...des lois à la c... interdisent à un patron de bar-tabac de fumer dans son propre établissement !

C'est du fascisme.

Le fascisme est la dictature au nom de la loi.
Des lois qui portent ainsi atteinte aux libertés individuelles sont criminelles et anticonstitutionnelles !
Quand une loi est injuste, il est criminel de lui obéir.

RéSISTANCE !!!!!!!!!!!!!!!