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vendredi 30 septembre 2011

mercredi 28 septembre 2011

SOYONS FOU !

A mon réveil, un médecin en blouse blanche m’a dit que j’allais en clinique psychiatrique.
« Mais non ! Je ne veux pas ! » Je m’écrie. Mais il me réplique que sinon, c’est Le Vinatier, l’hôpital psychiatrique de Lyon. Alors j’ai accepté.
L’endroit s’est avéré joli. Derrière ces hauts murs ornés de barbelés se cachait un beau jardin, avec des arbres et des fleurs : roses, iris, glaïeuls, et pâquerettes et deux vieux bâtiments désuets. Au premier repas, je n’ai rien pu avaler, mais bon je me suis bien rattrapé après.
Au début, j’avais peur des gens, surtout de leur regard sur moi. Oh, ce n’était pas agressif, mais insistant et pénétrant, je me sentais nu, comme si ma pathologie était inscrite sur mon front. TS ? Ts ! Tssss… Mais je me suis habitué. Au fond, c’est agréable de ne pas avoir de secret. L’ambiance était conviviale, joyeuse, voire lubrique parfois. Mais quoi ? J’étais amoureux de ma femme et n’aurais dérogé pour rien au monde à ma fidélité, pour pouvoir ainsi lui reprocher ses adultères. J’ai même prétexté l’homosexualité pour signifier mon refus à une femme… « J’aime bien comme ça aussi. » m’avait-on répondu. Ah bon ?!? Non merci. Les yeux de la vamp dégoulinaient de tranxène… Autant que de stupre. Om'a dit plus tard qu'elle était très douée. Non ! sans regret !
Mon collègue de chambre, un barbu, n’était pas causant. Il serrait cette femme par la taille, mais ne l’embrassait jamais. Peut être n’aimait-elle pas les poils, qu’il avait noirs et durs… Ce n’était certes pas un barbu religieux avec tout ce qu’il buvait en douce !...
Il y avait tout un tas de gens singuliers aussi, comme ce chef d’entreprise victime de surmenage, ce cuisinier-pâtissier : il m’offrait des paquets de tabac avec cet air torve qui me mettait tellement mal à l’aise. Il écrivait tout ce qu’il faisait. J’avais trouvé ça ridicule à l’époque, mais qui sait, ma vocation d’écrivain vient peut être de là ? Il y avait cet homme divorcé qui se faisait un point d’honneur de laver son linge à la main. Il y avait ce grand blond qui construisait des tabernacles avec tout un bric-à-brac au fond du parc, non c’était en plein milieu. Et cette professeur de danse du ventre qui se faisait bronzer en bikini, et cet ancien légionnaire à qui une prostituée juive avait jeté un sort, mais pour moi, c’est l’horreur sans nom de la guerre qui lui avait tourné le cerveau. Il y avait les infirmières, Ah !... les infirmières : tout un monde ! Tellement uniques et particulières, chacune dans son genre. Il y avait le bouddhiste qui dealait du H, (oui, H comme drogue) et cet échalas de 18 ans qui le fuyait comme un toutou.
Il y avait les docteurs enfin, chacun le sien, sauf les jours fériés : « T’as qui toi ? » « Ah bon ? Il est bien ? Tant mieux. » Ou « Tant pis » selon les cas. La pire, c’était celle qui venait en Lamborghini rouge et en décolleté majeur…
Mais c’était une joyeuse compagnie dans l’ensemble… Ca draguait ferme sur le terrain de boules… On riait beaucoup à notre table, mais pas du tout à la table des repas avec régime, allez savoir pourquoi ?
A chaque entrée de nouvel arrivant, nous passions l’inspection… A chaque sortie, on se promettait une amitié éternelle « sorties d’anges heureuses » voilà le niveau de nos blagues ou bien de voler le jour du premier avril la clochette qui sonnait le repas...
Celui dont je me souviens vraiment, c’est Frédéric, blond, décontracté, détendu même. Il était entré un lundi, alors que les changements de résidents (ou patients) se faisaient le jeudi. Je lui ai demandé comment ça se faisait. « Admis en urgence » et il s’est remis à sourire… comme un imbécile heureux. Mais imbécile il était loin de l’être. Heureux. Par contre, il l’a confirmé par la suite ; « mais alors pour quoi t’es là ? » Sa réponse m’a marqué pour la vie : « parce que mon patron ne voulait pas me donner des congés payés. » Quoi ?!? Il venait ici pour se payer du bon temps. Oui, nourri, logé, rien à glander… C’était sa conception des vacances. Je me demande quel baratin il avait servi à l’infirmière en chef pour être admis devant toute la liste d’attente. Je me le demande surtout, avec nostalgie, quand mon patron ne veut pas me donner de congés payés. Car je suis retourné là-bas plusieurs fois, mais contraint-forcé, avec une seule idée en tête : sortir. Mais il n’y a que les imbéciles qui ne changeaient pas d’avis, non ?

vendredi 23 septembre 2011

L'hétéro gêne.

Jef de Lyon dit :

non!

Je n'aime pas les hommes, pas homophile...
et même les femmes sont trop macho,
mais mon chat est agréable.

non plus !

je ne suis pas homophobe.
Chacun fait ce qu'il veut en privé...
DU MOMENT QUE ÇA NE PORTE PAS ATTEINTE à AUTRUI.

J'aime beaucoup trop ma liberté pour empiéter sur celle des autres et je ne demande que le respect et la réciprocité.

MAIS...

TOUT EST ETAT DE LIMITES ! On ne peut pas tout tolérer.

Quand on se promène dans les rues, quand on écoute des conversations, c'est mal vu d'émettre des critiques contre les homosexuel(le)s autant que de les approuver. Tout dépend de quel milieu on fréquente.

Je suis résolument NEUTRE sexuellement, c'est-à-dire non-pratiquant. Notre monde donne trop de place au sexe avec le/la prochain(e) à mon avis et pas assez à l'amour du prochain.

Moi, c'est le mariage ou rien. C'est tout simple.

jeudi 22 septembre 2011

transparent

"Je n'ai rien à cacher, sinon les secrets des autres."

c'est fou comme je me sens bien avec ma conscience tranquille !

mardi 20 septembre 2011

Ma chérie, mon amour...



Ma chérie, Mon amour de toujours,
j'ai si mal en pensant à toi,
car tu n'es pas là.

Quand nous verrons nous? peut-être jamais...

Seul ce soir, j'ai peur qu'on me prenne,
qu'on me retienne une nuit de trop,
et que je parte sans te voir...



guignol de lyon



Lyon,
capitale de la Gaule - vive la Gaule et les gauloiseries ! - s'est illustré par ses casseurs en novembre 2010.

Renseignez-vous, ça ne date pas d'hier.
Je salue Jean Moulin, Blandine, les canuts ...
... et tous ceux qui se révoltent contre les injustices.

Je blâme les petits casseurs de Lyon. Ils n'ont pas fait grand chose de bien.

Quand la guerilla est déconnectée de la révolution du peuple, pfuit!, le pouvoir en place en sort renforcé. Police, armée et gendarmerie s’entraînent à nettoyer les banlieues dans une ville factice. Ils emploient tous les moyens, et même l'arme blanche. Che Guevara l'a payé au prix fort en le 2 septembre 1967.

L'Histoire se répète trop souvent...


passage à vide




Un passage à vide vaut mieux qu'un passage à tabac.

Mais... "Non Jef, t'es pas tout seul..." et par moments, je préférerais l'être ; j'ai peu d'amis et tant de vilains cafards menaçants rôdent autour de moi.

réferendum interne auprès de tous mes visiteurs

Le site qui héberge mon blog me propose de me payer si je les laisse passer de la pub entre les articles?

pub ou pas pub ?

qu'en pensez-vous ?

vous pouvez répondre en cliquant sur le mot ci-contre en jaune. Merci d'avance.
(NB : en ces d'un taux d'abstention trop pimportant, je deviendrai un petit jef totalitaire et je déciderai seul)

1er octobre 2011 : 5 votants à ce jour.

je sais qui vote et qui ne vote donc pas. C'est à ces derniers que je m'adresse : votez ! Ne laissez pas les autres décider pour vous.

votez s'il vous plait.

La rencontre

J’avais 20 ans. Ma vie était formidable. J’étais plutôt beau garçon et aucune fille ne me disait non. Je faisais de très bonnes études qui me promettaient une bonne situation. J’habitais seul un appartement confortable. Mon père banquier venait de quitter ma gentille maman, et sans doute pour se laver de ses remords, venait de m’allouer une somme coquette. En somme tout était idéal pour moi. Du moins c’est ce qu’il paraissait. Je marchais cette nuit-là au hasard dans les rues désertes. En quête de je ne sais quelle aventure romanesque, je marchais tranquillement, les mains dans les poches, en me chantant mes chansons préférées.

Franchement, je ne m’attendais pas à croiser qui que ce soit. Il était entre 2 heures et 3 heures du matin. L’air était frais, et j’ai fermé mon blouson. Je me suis allumé une cigarette, une sale manie que j’aimais car le feu me fascine plus que le tabac, c’est le baiser brûlant de la braise ardente que j’apprécie, jouer avec le feu est pour moi une seconde nature.

C’est à ce moment là que j’ai senti une présence, dans la nuit. Je me sentis observé. Alors je m’arrête, et sonde les ténèbres du regard. Effectivement, j’ai l’ouïe fine, j’entends un souffle tout proche. J’allume mon briquet. Un clochard est là, sous un porche qui me sourit.

« Eh, gamin, t’as pas une clope pour un vieux bonhomme fatigué ?

- Bien-sûr, Monsieur.

Il rit.

- On ne m’a pas appelé Monsieur depuis des années. Tu es trop poli pour être honnête. Quel est to vice, gamin ?

- Je ne sais pas. » Je ne crains personne car je suis plutôt costaud et surtout,

je sais parler, même aux gens détraqués. Ce type était paumé, c’est dommage pour lui, mais je ne suis ni Zorro, ni le Père Noël. J’allais continuer mon chemin quand il reprend :

« Eh, gamin, t’a pas une pièce pour un vieux bonhomme fatigué ?

- d’accord, si vous voulez… » Et je lui donne ma ferraille, les petites pièces

que j’avais dans ma poche, pas grand-chose. Une clope, de l’argent, que pouvait-il espérer de mieux? J’allais décidément m’en aller, quand il m’a pris de court :

« Eh, gamin, t’a pas 5 minutes pour un vieux bonhomme fatigué ? » Surpris, j’ai hésité, mais je me suis dit que c’était au fond ce que je cherchais en me promenant la nuit, bavarder avec un inconnu. J’aurais préféré une jolie fille, mais je n’étais pas naïf, et c’était ce type tout ce qui s’était présenté à moi. Alors, sans un mot, je me suis assis dos au mur à côté de lui ; il m’a tendu sa bouteille mais j’ai refusé poliment. Et il s’est mis à parler. Doucement, lentement, tranquillement, il m’a parlé du monde et de sa vie, de tout ce qu’il trouvait de beau, les levers de soleil, le ciel toujours différent, les couchers de soleil, la nuit mystérieuse, le silence et la paix intérieure qu’il avait.

« Tu comprends, gamin, je n’ai aucun droit aujourd’hui, je n’ai aucun bien à préserver, aucune famille à nourrir, pas de situation à responsabilités qui me prend mon temps… Il a marqué un silence.

- Mais du coup, je n’ai aucun devoir, je ne dois rien à personne, et je ne fais ce

que je veux…

- Oui, mais sans argent, vous ne pouvez rien faire. J’ai protesté.

- Tu parles, je mange tous les jours, et je trouve même de quoi picoler. Les gens

d’ATD quart monde me donne de chouettes livres, surtout, rien ne m’empêche de penser librement.

Après un silence, il me regarde pour la première fois depuis le début de sa péroraison.

- Tu sais, il y a des choses que l’argent ne peut pas acheter

- Quoi ? J’étais con.

- La liberté d’être soi.

J’allais rétorquer que j’avais choisi mes études et faisais tout ce qu’il me plaisait

de faire, mais il m’arrêta net.

- Tu fais ce que tu veux, mais es-tu qui tu veux ? Pour qui es-tu important ? Qui

te connait vraiment dans tous secrets ? Qui es-tu ?

- … Je ne m’étais jamais posé la question

- Je ne te demande pas ton nom, ni ton pédigrée, gamin, mais ton être ! »

Il avait haussé le ton sur ce dernier mot, et se tut. Il avait raison, je savais qui j’étais dans la société, dans le monde, un étudiant, un français, un homme, mais en moi, je ne pouvais me définir clairement. Je l’ai quitté au petit matin. Nous n’avons plus beaucoup parlé après cette dernière idée. Qui suis-je ? Cette question m’occupe encore l’esprit à ce jour. Je suis un voyageur dans la vie, je marche encore la nuit dans les rues, je n’ai jamais trouvé vraiment la réponse.

lundi 19 septembre 2011

Arrêtez-vous un instant.




prendre le temps de s'arrêter pour regarder le paysage








dimanche 18 septembre 2011

lutter pour son honneur



"Le guerrier n'a peur que de lui-même."

Un combat quotidien - contre son ego - est indissociable d'un cheminement de développement personnel. Je me sens un guerrier de la paix avec la parole et le silence comme armes. Ce blog est un des champs de ma bataille.

"Ne pas se défendre est un suicide."

J'ai dit que la paix est la forme de bonheur la plus juste. NON. pas n'importe quelle paix. Il est de notre devoir parfois de descendre le shérif, comme chante Bob Marley. Ce n'est que le dernier recours.




samedi 17 septembre 2011

Jef Flag dit WAOH !

- DANSITéS -

En exclusivité mondiale : la dernière oeuvre en date de Trouble

quel âne rit ?

Henri en rit de tout ça.



HI - HAN !



Et elle est morte Adèle.


bien venue à tout le monde.

dire des âneries n'est pas comparable à faire des sonneries.

Jouer au con est un art subtil et infiniment dangereux...

...alors...



... VOTEZ BIEN !!!...



car... rira bien qui rira le dernier.


jeudi 15 septembre 2011

Un cerveau en cadeau

BRAIN par Trouble

(ça signifie en anglais = cerveau ;
je le précise passque l'on me reproche que tout le monde ne parle pas français)
(Trouble est son nom d'artiste. Cela signifie = ennuis, dérangement, en anglais)


"Trouble a ajouté un nouveau commentaire sur votre message "Un cerveau en cadeau" :

D'autres boulots sont visibles sur mon site : http://mlaurent1.free.fr/trouble/

Bonne continuation, Trouble."



C'est la Joie ! Cet artiste m'a offert une de ses oeuvres, je ne sais pas pourquoi, d'ailleurs... Son nom est TROUBLE. Retenez ce nom. La gars a 10 ans d'avance sur tout le monde... et cliquez sur le lien pour découvrir ses travaux.
Toujours est-il que ça me fait énormément plaisir : le geste et surtout l'image, elle-même !
C'est d'une rare beauté surréaliste, avec une profondeur de champ très maîtrisée. Les couleurs sont douces et chaudes. Cette oeuvre ME PARLE de moi-m'aime.

mercredi 14 septembre 2011

Perroquets de Panurge

"Perroquets de Panurge"

(C'est une expression d'un philosophe français et académicien que j'apprécie beaucoup.)

Les gens gobent la télé comme une source de vérité. Le pire, c'est qu'ils répètent ce qu'ils ont entendu sans comprendre et sans réfléchir.

"La télé, c'est bien comme ça on ne pense à rien."

"Tais-toi, j'écoute !"

"C'est vrai puisque c'est passé à la télé..."

"La télé rend intelligent les abrutis et rend abrutis les intelligents..."

info ou intox ? je me souviens de commentaires dramatiques lors de la 2e guerre du golfe. Ah, ça pétait de partout !, mais en fait, c'étaient des images de la 1ère guerre du golfe, donc sans aucun lien avec la réalité.

D'ailleurs, qu'est-ce que la réalité ? la télé réalité ?

on nous dit : "c'est la crise." alors c'est la crise."
on nous dit : "c'est la reprise." alors c'est la reprise. on nous dit : "c'est un complot terroriste." alors c'est un "complot terroriste."

Pour moi, une telle crise de nerfs m'a reprise, que je me suis fait une terrible hernie au nombril et qu'il faut m'opérer. C'est vraiment vrai ! Je positive en me disant qu'ils vont vraiment me couper le cordon, cette fois.

dimanche 11 septembre 2011

parle à mon Q.I., s'il te plait.



On nous prend pour des imbéciles, partout, par tout le monde, dans tous les médias ; et dans la vie courante, c'est encore pire !

Joue à l’imbécile avec moi, tu n'es pas sûr de gagner...

Pourtant, mon quotient intellectuel, mon Q.I., vaut beaucoup plus que ça...

Je suis capable de comprendre les choses, même s'il me faut du temps...

... à croire que tous les neurones des gens sont en-bas.

Les gens ont un sexe à la place du cerveau et un porte-monnaie à la place du coeur.


Pauvre monde ! Les politiques et les religieux donnent les pires exemples de mauvaise conduite. On est perdus !



Rien ne dure.

"Le temps court comme le vent." dit la chanson d'un ami.

Je viens de comprendre que ma soif d'écrire à tout un tas de gens, y compris dans ce blogriffoul, me sert à échapper au temps, fantasme de durer au-delà de l'instant présent.

On fait des enfants pour durer...
... des oeuvres d'art,
... des exploits,
c'est pour entrer dans l'Histoire et imprimer les mémoires.

Or RIEN NE DURE.

Rien ne dure plus qu'un pet de lapin.

Pourtant, j'ai l'espoir, l'intime conviction que les liens d'affection véritables durent au-delà de la mort.

Mon amour durera éternellement. Voilà.



Voilà où je place mon espoir.





vendredi 9 septembre 2011

votez pour Jef Flag


parce que je suis le plus heureux !

Jef Flag bosse fort comme un turc.

vous savez quoi ? Je suis heureux.
Je bosse une nuit par an et tous les enfants m'aiment
quelques parents aussi...

Le seul souci, c'est la baisse prochaine des taux directeurs de la banque centrale européenne.
Mon besoin en fonds de roulement va en prendre un coup si les fonds spéculatifs font une OPA agressive sur ma holding à Guernesey.
Je ne parle pas encore chinois, moi... pour délocaliser en Asie...

mercredi 7 septembre 2011

en age et en eaux troubles


zut, j'ai été banni d'un forum sympa.
J'ai gaffé. C'est de ma faute ! Zut !

J'ai fauté contre la charte par inattention : j'ai parlé d'un autre forum.


quel *bip* je suis !!!...


mardi 6 septembre 2011

café-clope-courrier, c'est le pied !


j'aime passionnément écrire
une clope au bec et la café à volonté.

J'écoute le silence
je fume et je pense
café noir-bitume
je pense et je fume




VIVRE TUE !

salut et paix à vous mes amis.

Je suis ravi de cette rentrée.

C'est super !

bon jour et bonne nuit à tout le monde !

Ne crachez pas dans la soupe ; il fait bon vivre, non ? il faut bien vivre... non ?

Je suis dans le plus grand bonheur.
et le bonheur augmente quand on le partage.


C'est aujourd'hui la rentrée des classes. Tous les enfants savent ça !, et quelques parents aussi... lol ! ça ne me fait que du bien de me souvenir de mon époque homme-au-foyer.
Pour moi, ce matin est un matin ensoleillé, doux, calme. C'est le premier jour de la semaine ; on rattaque! Hardi mon gars !

... en tant que peintre, je commence par prendre la pause car je ne suis pas un modèle. Moi d'abord ! je pense à me faire plaisir, à me faire du bien d'abord !
... alors café-clope-courrier... c'est mon plus grand bonheur sur terre sauf papoter avec les amis.

Et c'est à vous d'abord que je dédie cet instant présent.

Ensuite, je me suis appliqué à faire tout ce que je voulais faire. c'est bien fait pour moi.

La Vie est la seule maladie sexuellement transmissible dont on finit tous par mourir, alors autant vivre sa vie soi-même, non ?

profitez de votre Vie ! Le bonheur vous attend au coin de la rue.

dimanche 4 septembre 2011

NO COMMENT


Il n'y a pas de fumée sans feu.

IL Y A LE FEU !

Je suis non-fumeur entre deux cigarettes.
J'aime fumer le tabac comme les natifs américains.
Je me modère pour réduire les dommages.
Je ne fume pas en public pour ne pas donner le mauvais exemple.
Cela ne regarde que moi.

Or...

...des lois à la c... interdisent à un patron de bar-tabac de fumer dans son propre établissement !

C'est du fascisme.

Le fascisme est la dictature au nom de la loi.
Des lois qui portent ainsi atteinte aux libertés individuelles sont criminelles et anticonstitutionnelles !
Quand une loi est injuste, il est criminel de lui obéir.

RéSISTANCE !!!!!!!!!!!!!!!